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En plus d’as surer en cuisine, l’animateur et chef Louis-François Marcotte a commencé à rouler depuis trois ans et a participé au Grand défi Pierre Lavoie avec l’équipe de Québecor. Entrevue.


Depuis combien de temps faites-vous du vélo de performance?

Louis-François Marcotte : Avant, je faisais principalement de la course à pied pour me garder en forme. Il y a trois ans, j’ai conduit le véhicule récréatif de l’équipe Québecor au Grand Défi Pierre Lavoie. L’expérience m’a vraiment plu et j’ai dit à aux membres de l’équipe que je souhaiterais participer l’année suivante. Me prenant au mot, Pierre Karl Péladeau a communiqué avec moi durant l’hiver pour m’inviter à joindre l’équipe. J’ai alors commencé l’entraînement pour m’y préparer adéquatement.

Comment avez-vous trouvé l’expérience du Grand défi Pierre Lavoie?

L.-F. M . : C’est une expérience formidable et très intense ! L’ambiance est vraiment amicale, et une grande fraternité et une belle énergie se développent entre les cyclistes.

Quel a été votre entraînement pour vous préparer au défi?

L L.-F. M . : Durant l’hiver précédant le défi, j’ai pédalé avec Powerwatts en studio, à raison d’une heure, trois fois par semaine. Je ne suis pas un cycliste intense et je pédale par pur plaisir. Cet entraînement m’a permis de me donner la motivation nécessaire..., et de terminer le défi !

Qu’est-ce qui vous motive dans ce type de défi?
L.-F. M . : Je suis un peu paresseux de nature. La participation à un événement comme le Grand Défi Pierre Lavoie me donne un objectif à atteindre et m’oblige à faire du vélo et à m’entraîner, malgré mon horaire très chargé.

Avez-vous participé à d’autres évènements ou compétitions de vélo?

L.-F. M . : J’ai participé au Gran Fondo de Tremblant de 80 km en mai dernier. Ce qui est bien, c’est que ça permet de tester sa forme physique avant une autre évènement.

Changez-vous votre alimentation à l’approche d’un tel évènement?

L.-F. M . : Avec mon travail, c’est difficile de faire de grands changements ! Toutefois, on a une alimentation quotidienne très saine à la maison, composée de protéines et de légumes, qui ne nuit pas à une compétition. Une semaine avant, je tente de prendre moins de vin, mais c’est tout.

Quel est votre équipement?

L.-F. M . : J’ai beaucoup de difficulté à porter des gants ! J’utilise principalement mes mains dans mon métier, et on dirait que j’ai besoin de sentir que j’ai le guidon bien en mains. Je me suis aussi muni récemment d’un GPS Garmin que je mets sur mon guidon et qui me donne toutes sortes de renseignements très utiles lorsque je fais du vélo.

Et suivez-vous les courses de cyclisme professionnel?

L.-F. M . : Je ne suis pas de façon assidue les compétitions à la télévision… Mais comme je pratique le sport, je suis plus intéressé à observer la technique et plus porté à comprendre quand j’écoute un reportage sur le sujet.

Comment trouvez les conditions de route pour le vélo à Montréal?

L.-F. M . : Je déteste rouler au centre-ville ! Non seulement je trouve ça dangereux, mais l’air ne me fait pas du bien. Mon plaisir, c’est de rouler sans interruption, comme près du canal Lachine, près d’où je demeure et où il n’y a pas de feux ni de voitures.

À quels autres évènements souhaitez-vous participer dans le futur?

L.-F. M . : Je souhaite participer de nouveau au Grand Défi Pierre Lavoie l’année prochaine. C’est cet hiver que je saurai si je me joindrai à l’équipe de Québecor pour l’événement.


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