On peut facilement laisser la voiture chez soi et pédaler jusqu’au bureau au moins sept mois par année. Merveilleux ! Des conseils pour avoir le goût, jour après jour, d’aller au travail en vélo.

 1. Se protéger

Pour réduire les risques de blessures et d’accidents, certaines mesures de base s’imposent. Deux objets qui peuvent faire toute la différence dans le cas d’une simple chute : le casque (bien attaché !) et les gants, qui permettent de prévenir les écorchures. Mais encore faut-il être vu ! Au printemps et à l’automne, les lumières clignotantes vous rendent plus visibles tôt le matin ou en fin d’après-midi. 

2. Sécuriser son vélo et son équipement

On demande à son employeur s’il est possible d’entrer le vélo à l’intérieur du bâtiment, la façon la plus simple d’éviter le vol. Si c’est impossible, il faut investir dans un bon cadenas et sécuriser toutes les pièces qui peuvent se retirer facilement à l’aide de systèmes de blocage, comme les roues et le siège.

3. Se protéger des intempéries

La fameuse ligne de boue qui traverse le dos jusqu’aux fesses peut être évitée grâce à des garde-boue! Des lunettes peuvent aussi aider à voir lorsqu’on reçoit une pluie en diagonale. Si on ne sait pas sur quel pied danser avec la météo, il peut être judicieux de prévoir plusieurs couches, dont un imperméable.

 4. Se vêtir pour ne pas se salir

Pour tout trajet de 30 minutes et plus, ou lors des chaudes journées d’été, on porte des vêtements de sport qui respirent et on glisse notre tenue professionnelle dans un sac, à l’abri de notre sueur ! Le conseil vaut également pour les souliers.

 5. Alléger le poids sur ses épaules

Comme il est préférable de se changer une fois au travail pour avoir l’air frais comme une rose, il est utile d’ajouter des porte-bagages à son vélo. Ils sont pratiques et évitent d’avoir à porter un sac à dos qui contribue à la transpiration.

 6. Prévoir l’essentiel de toilettes

Vaut mieux prévoir l’inévitable. Déodorant, lingettes pour bébé, savon et sac de plastique pour y ranger ses vêtements humides rendront le parcours en vélo invisible aux yeux et au nez des collègues.

 7. S.O.S. outils

Pas besoin de grand-chose, comme le trajet n’est pas très long. En cas de crevaison, toutefois, une pompe et une chambre à air pourraient éviter d’avoir à chercher un magasin de vélo à pied. Aucun talent manuel ? On traîne alors son titre de transport en commun pour revenir à temps à la maison et gérer son vélo plus tard.

8. L’abc des pneus

En ville, les pneus de taille moyenne (de 32 à 38 mm) permettent d’aller assez vite tout en amortissant le choc des nombreux trous et crevasses. Des pneus bien gonflés réduisent également l’effort à faire pour avancer ainsi que le risque de crevaison.

 9. Choisir son parcours judicieusement

Certains parcours sont faciles et efficaces, alors que d’autres demandent plus de concentration en raison de la construction et de tous ses détours.

10. Profiter du paysage et de l’air frais

On prend le temps d’apprécier le bon bol d’air frais que ce trajet en vélo nous procure, en ayant une petite pensée pour tous ceux pris dans les bouchons ou entassés dans les autobus et le métro. Quelle chance on a de pouvoir s’oxygéner ainsi !

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